À l’occasion de la Saison France-Brésil 2025, Paris Plage a organisé des diffusions en plein air de courts et longs métrages brésilien la semaine dernière.
J’ai donc revu L’Île aux Fleurs, un court-métrage quelque peu lunaire, puisqu’une voix-off explique le cycle de vie d’une tomate comme s’il s’adressait à des extra-terrestres. Ceci dit, ça marche extrêmement bien pour souligner les nombreuses absurdités de la société de consommation moderne.
Après cela, j’ai vu Saneamento Básico, O Filme (qu’on traduirait en “Installations Sanitaires de Base, Le Film”) qui raconte l’histoire d’un village tentant de convaincre leur municipalité de financer l’installation d’une fosse pour assainir le ruisseau qui le traverse. Les protagonistes découvrent que bien que la municipalité ne possède pas de fonds pour de tels projets, elle en possède pour produire un film de fiction. Ils se mettent alors en tête de réaliser un film mettant en scène un monstre vivant dans le ruisseau pollué et attaquant les villageois, finançant donc par ce biais les travaux. Voir Fernanda Torres et Wagner Moura dans une comédie est assez plaisant (j’ai plutôt l’habitude de les voir dans des drames comme “Je Suis Toujours Là” pour Torres et “L’Agent Secret”, “Narcos” et “Troupe d’Élite” pour Moura) et il y a ce côté “art naïf” dans la démarche des personnages qui m’a beaucoup plus. Ça m’a fait penser à une version plus authentique et terre-à-terre de “Soyez sympa, rembobinez” de Michel Gondry.
Le lendemain, c’était Monte le son, c’est du rock (“Aumenta, Que É Rock’n’Roll” dans son titre original), un biopic sur un jeune journaliste passionné de musique qui se voit catapulté à la tête de Fluminense FM, une radio en déclin, avec pour objectif de la transformer en la référence de la musique rock au Brésil. Le sujet est passionnant, d’autant plus que l’histoire se déroule durant la dictature militaire et que la musique rock au Brésil est contestataire, et le film se permet de nombreux traits d’humour.
Je ne suis pas allé voir Central do Brasil le samedi car je l’ai vu en Octobre dernier. Je vous remets le lien sur mon commentaire à son sujet.
Enfin, je me suis mis en tête de voir tous les Mission Impossible, j’ai donc commencé par le premier hier. Je ne sais pas s’il a mal vieilli ou si je n’ai cessé de le comparer aux opus plus récents (comme Ghost Protocol), mais ça ne m’a pas semblé si incroyable et culte que ça. L’histoire est faussement alambiquée, il y a plein d’incohérences et la plupart des personnages ne sont pas crédibles.
À l’occasion de la Saison France-Brésil 2025, Paris Plage a organisé des diffusions en plein air de courts et longs métrages brésilien la semaine dernière.
J’ai donc revu L’Île aux Fleurs, un court-métrage quelque peu lunaire, puisqu’une voix-off explique le cycle de vie d’une tomate comme s’il s’adressait à des extra-terrestres. Ceci dit, ça marche extrêmement bien pour souligner les nombreuses absurdités de la société de consommation moderne.
Après cela, j’ai vu Saneamento Básico, O Filme (qu’on traduirait en “Installations Sanitaires de Base, Le Film”) qui raconte l’histoire d’un village tentant de convaincre leur municipalité de financer l’installation d’une fosse pour assainir le ruisseau qui le traverse. Les protagonistes découvrent que bien que la municipalité ne possède pas de fonds pour de tels projets, elle en possède pour produire un film de fiction. Ils se mettent alors en tête de réaliser un film mettant en scène un monstre vivant dans le ruisseau pollué et attaquant les villageois, finançant donc par ce biais les travaux. Voir Fernanda Torres et Wagner Moura dans une comédie est assez plaisant (j’ai plutôt l’habitude de les voir dans des drames comme “Je Suis Toujours Là” pour Torres et “L’Agent Secret”, “Narcos” et “Troupe d’Élite” pour Moura) et il y a ce côté “art naïf” dans la démarche des personnages qui m’a beaucoup plus. Ça m’a fait penser à une version plus authentique et terre-à-terre de “Soyez sympa, rembobinez” de Michel Gondry.
Le lendemain, c’était Monte le son, c’est du rock (“Aumenta, Que É Rock’n’Roll” dans son titre original), un biopic sur un jeune journaliste passionné de musique qui se voit catapulté à la tête de Fluminense FM, une radio en déclin, avec pour objectif de la transformer en la référence de la musique rock au Brésil. Le sujet est passionnant, d’autant plus que l’histoire se déroule durant la dictature militaire et que la musique rock au Brésil est contestataire, et le film se permet de nombreux traits d’humour.
Je ne suis pas allé voir Central do Brasil le samedi car je l’ai vu en Octobre dernier. Je vous remets le lien sur mon commentaire à son sujet.
Enfin, je me suis mis en tête de voir tous les Mission Impossible, j’ai donc commencé par le premier hier. Je ne sais pas s’il a mal vieilli ou si je n’ai cessé de le comparer aux opus plus récents (comme Ghost Protocol), mais ça ne m’a pas semblé si incroyable et culte que ça. L’histoire est faussement alambiquée, il y a plein d’incohérences et la plupart des personnages ne sont pas crédibles.